Plus d’info (diaporama d’Emmanuelle Santinelli, lexique, bibliographie) sur le blog du podcast : veuillez suivre ce lien vers le blog
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Comme vous le savez, dans ce podcast, on s’intéresse beaucoup au corps des femmes et à la façon dont le corps féminin est souvent présenté comme une limite pour l’action, alors même qu’il est instrumentalisé et utilisé par des sociétés patriarcales, au gré des besoins. Depuis quelques années, les historien·nes se sont intéressés au pouvoir des reines et aux différentes modalités de son expression : c’est ce qu’on appelle les Queenship studies.
Aujourd’hui, nous recevons Pascale Mormiche, qui a publié, aux éditions CNRS, en 2022 un ouvrage intitulé Donner vie au royaume. Grossesses et maternités à la Cour, XVIIe – XVIIIe siècles. Ensemble, nous observerons la façon dont les corps des reines et des princesses royales ont été mobilisés dans la reproduction d’héritiers et d’héritières par la monarchie française des XVIIe et XVIIIe siècles, dans des stratégies d’exercice et de conservation du pouvoir. Il s’agit donc ici de considérer la grossesse et la maternité comme des événements majeurs des dynasties royales.
Cette question des grossesses royales nous amènera à observer plus largement la question du corps et de la sexualité des princesses et des reines ainsi que l’existence des différentes actrices et acteurs de la surveillance et plus largement, de la reproduction des familles royales, et en particulier les sages-femmes. À travers leur rôle et leurs compétences, c’est toute la question des savoir-faire féminins à l’époque moderne, leur acquisition et leur transmission, que nous pourrons interroger.
Comme d’habitude, nous vous parlerons également des possibilités qu’offre cette étude scientifique dans l’élaboration de vos cours, notamment en classe de 5e et de 2nde.
Dans cette épisode, nous évoquons la possibilité d’étudier la construction de l’Etat royal en France à partir de l’étude de la construction dynastique du pouvoir, ce qui passe immanquablement par la reproduction sexuelle des rois et des reines.
Pour cela, nous vous proposons plusieurs documents ci-dessous :
Générique : Warm Sunset par Romarecord1973, disponible sur Pixabay
Un podcast produit par l’Association Mnémosyne avec Cécile Béghin.
Noémie Gmür et Clémentine Letellier à la technique.
Clémentine Letellier à la lecture des textes.
Hugo Bouvard est maître de conférence à l’Université Paris Cité et au LARCA (Laboratoire de Recherche sur les Cultures Anglophones) depuis septembre 2022. Sa thèse est une sociohistoire de la représentation politique des minorités sexuelles, en France et aux États-Unis. Il y étudie la sociologie du personnel politique, à travers les trajectoires d’élu-es gays et lesbiennes, depuis les années 1960 jusqu’à nos jours.
Remerciements à Alex Taylor d’avoir archivé cette émission de petites annonces de la radio Fréquence Gaie, et d’avoir accepté qu’un extrait soit utilisé pour ce podcast.
Remerciements au Collectif Archives LGBTQI+ d’avoir rendu possible la numérisation de l’enregistrement dans le cadre du projet « Fréquence Gaie« , soutenu par la DILCRAH
Venez découvrir le tout premier épisode de la saison 2 de notre podcast, Du Genre dans l’Histoire, qui vous présente les grandes problématiques de l’histoire des femmes et du genre à travers des recherches récentes. Nous nous interrogeons ensuite sur les possibles transpositions didactiques de ces travaux dans les cours d’histoire du secondaire.
Aujourd’hui, nous allons parler d’intimité, de couple et de mariage, en observant l’évolution du marché de la rencontre entre les XIXe et XXe siècle. Nous mentionnons également le lien entre les petites annonces de journaux, les agences matrimoniales, et le développement des sites et applications de rencontres actuelles qui peuvent être perçues comme une forme contemporaine de l’intermédiation de rencontre.
Pour évoquer ces questions, nous avons le plaisir de recevoir Claire-Lise Gaillard, qui a soutenu en 2021 sa thèse sur l’histoire du marché de la rencontre en France aux XIXe et XXe siècles (c.f. bibliographie). Avec elle, nous nous sommes interrogées sur l’existence d’un « marché matrimonial », sur le rôle des intermédiaires de rencontre et sur ce que les petites annonces révèlent de l’intimité, des stéréotypes de genre et des stratégies amoureuses et matrimoniales des français·es.
Nous vous présentons également tout l’intérêt que cette thématique, mais surtout les sources utilisées par Claire-Lise Gaillard, présentent pour enseigner les transformations de la société française entre le XIXe et le XXe siècle dans les cours d’histoire-géographie, mais aussi en EMC.
Nous remercions Claire-Lise Gaillard de nous permettre de vous diffuser ces quelques documents provenant de sa thèse, Célibataire épouserait jeune fille avec dot. Histoire du marché de la rencontre en France (XIXe-XXe siècles) [à paraître].
Dans cet épisode, nous vous invitons à vous saisir de la source primaire utilisée par Claire-Lise Gaillard : les petites annonces. Leur lecture, au premier abord ludique, permet rapidement aux élèves de collège comme de lycée, de saisir les stéréotypes et le modèle qui sous-tend l’écriture de ces petites annonces. Il devient alors possible d’étudier avec nos classes les interactions sociales propres au XIXe siècle (en 4e – 3e, ou en Première voire en Terminale). Voici un échantillons de petites annonces issues du journal L’Intermédiaire Discret, classé par sexe.
Vous pouvez aussi utiliser des caricatures qui, aux côtés de ces annonces, permettent de percevoir la façon dont le marché matrimonial, mais surtout l’intermédiation des rencontres, sont perçues et critiquées.
Pour étudier les stéréotypes de genre, en EMC par exemple, nous vous conseillons ces graphiques proposés par notre invitée dans sa thèse à paraître :
Enfin, les petites annonces datant de l’entre-deux guerre peuvent permettre de constater, de façon différente de nos sempiternelles pyramides des âges, l’impact démographique et social de la Grande Guerre, en permettant aux élèves de constater la grande quantité de veuves qui se tournent vers le marché patrimonial et qui sont moins regardantes que les célibataires sur le statut matrimonial recherché.
Générique : Warm Sunset par Romarecord1973, disponible sur Pixabay
Un podcast produit par l’Association Mnémosyne avec Cécile Béghin.
Noémie Gmür et Clémentine Letellier à la technique.
Clémentine Letellier à la lecture des textes.
La guerre en Ukraine et les multiples photographies de femmes en uniforme, engagées dans l’armée ukrainienne auprès de leurs compagnons masculins, ont révélé au monde une réalité immémoriale : les femmes ne sont pas étrangères à la guerre. Dans le cadre d’une histoire de France qui glorifie les grands hommes et les grands soldats, toujours masculins, à l’exception notable de la figure de Jeanne d’Arc, et où l’on renvoie généralement les femmes à la société civile, passives et plutôt victimes des conflits qu’actives dans les combats, quelle place est faite aux femmes dans l’histoire de la guerre ?
La question du genre de la guerre et de la place des femmes dans les guerres n’est pas neuve, elle est travaillée par les historiens et historiennes depuis plus de 25 ans. A Mnemosyne, nous avons donné le prix 2019 à Maria Goupil-Travert sur les Braves combattantes, humbles héroïnes, évoquant les femmes engagées dans la guerre pendant la Révolution. Ce mémoire a été dirigé par Dominique Godineau, qui elle même a écrit sur les femmes dans les guerres révolutionnaires il y a plus de 20 ans.
Ces travaux nombreux et passionnants restent peu connus et ne connaissent aucune traduction dans les programmes d’histoire. Pourquoi les femmes en guerre sont invisibles dans les cours du secondaire ? Comment faire pour y remédier ? Nous nous demanderons aussi en quoi réfléchir au genre de la guerre peut aider les élèves à mieux appréhender la réalité des conflits et progresser sur le chemin de l’égalité.
Aujourd’hui, Cécile Beghin reçoit trois spécialistes pour nous aider à répondre à toutes ces questions : Véronique Garrigues, Chloé Leprince et Fabrice Virgili.
Pour le Moyen Âge (programme de 5e) :
« La Vengeance de Bérénice (ou Laodicée) de Cappadoce » dans Giovanni Boccaccio (1313-1375), Le Livre des cleres et nobles femmes, v. 1488-1496, Cognac (France), Illustrations de Robinet Testard – BnF 599 fol. 63
Pour la Révolution et le XIXe siècle (4e et 1ère) :
Pour trouver des sources, notamment des textes de lois, mentionnant des femmes en arme durant la Révolution, et notamment à la Bastille, vous pouvez consulter le site de la base Baudouin.
Pour des références plus facilement (et rapidement !) accessible, voici quelques articles :
GODINEAU Dominique, « De la guerrière à la citoyenne. Porter les armes pendant l’Ancien Régime et la Révolution française », Clio. Histoire‚ femmes et sociétés [En ligne], 20 | 2004, mis en ligne le 23 août 2013, consulté le 13 juillet 2022. URL : http://journals.openedition.org/clio/1418
MARTIN Jean-Clément, « Travestissements, impostures et la communauté historienne. À propos des femmes soldats de la Révolution et de l’Empire », Politix, 2006/2 (n° 74), p. 31-48. mis en ligne le 1er janvier 2009, consulté le 13 juillet 2022. URL : https://www.cairn.info/revue-politix-2006-2-page-31.htm
MABO Solenn, « Femmes engagées dans la chouannerie : motivations, modalités d’actions et processus de reconnaissance (1794-1830) », Genre & Histoire [En ligne], 19 | Printemps 2017, mis en ligne le 01 juillet 2017, consulté le 13 juillet 2022. URL : http://journals.openedition.org/genrehistoire/2687
Enfin, vous pouvez réécouter en replay le café virtuel réalisé par l’APHG, en partenariat avec Mnémosyne, avec Maria Goupil-Travert pour son livre Braves combattantes, humbles héroïnes. Trajectoires et mémoires des engagées volontaires de la Révolution et de l’Empire (PUF, 2021) qui a reçu le prix Mnémosyne 2019. La discussion était animée par Véronique Garrigues. Mis en ligne le samedi 3 juillet 2021 : https://www.aphg.fr/Cafe-virtuel-avec-Maria-Goupil-Travert-pour-Braves-combattantes-humbles
Vous pouvez également utiliser, comme source pour vos dossiers documentaires, le Règlement de la Société des citoyennes républicaines révolutionnaires de Paris (9 juillet 1793) [disponible sur Gallica], notamment l’introduction :
« Les Citoyennes Républicaines Révolutionnaires, convaincues que sans mœurs et sans principes il n’y a pas de liberté, et considérant que pour bien remplir ses devoirs domestiques il faut connaître ses devoirs sociaux, c’est sous ce point de vue qu’elles se réunirent en société pour s’instruire entre elles, apprendre à bien connaître la Constitution et les lois de la République, s’occuper des affaires publiques, soulager l’humanité souffrante, et défendre tous les individus qui seraient victimes de quelque acte arbitraire ; elles veulent bannir toute personnalité, jalousie, rivalité, envie, et justifier leur titre.
Mais outre l’esprit et le principe d’une société, il faut encore un règlement particulier qui en arrête toute les conditions ; en conséquence, elles ont arrêté le règlement suivant :
I – Le but de la société ayant pour objet [sic] de s’armer pour concourir à la défense de la Patrie ; sont néanmoins libres les Citoyennes de s’armer ou de ne pas s’armer.
(…27 articles en tout …)
La Société, après avoir entendu le règlement ci-dessus l’a arrêté le 9 juillet, l’an deuxième de la République française.
Signé : Rouseaud, présidente, Potheau, L. Monier, Dubreuil et Pauline Léon, secrétaires.
De l’imprimerie du Créole patriote, rue Transnonain.
Nous somm’s les tourneuses d’obus
Les mômes des Poilus
On est pas des duchesses
On peut nous voir dès le matin
Nous cavaler au turbin
Et tout le jour à l’atelier
On cisèle l’acier
Comm’ des homm’s à la r’dresse
On peut dir’ qu’ell’s jett’nt leur jus
Les tourneuses d’obus.
Générique : Musique libre de droit par Musicincloud.
Un podcast produit par l’Association Mnémosyne avec Cécile Béghin.
Fanny Cohen-Moreau et Alice Durieux à la technique.
Clémentine Letellier à la lecture des textes.
Depuis plusieurs années, à Paris et dans toutes les grandes villes du monde, les artistes féminines font leur apparition dans les musées et les galeries : dans le sillage des études de genre et de l’histoire des femmes, les artistes ou photographes du passé, longtemps invisibilisées sont « redécouvertes » et exposées devant un public ébahi de leur existence. Certaines artistes contemporaines parviennent à exposer leur travail, construire une œuvre et une renommée.
Si cette évolution vitale pour le milieu de l’art est bien accueillie du grand public il reste beaucoup à faire pour que les femmes artistes deviennent des artistes à l’égale des hommes. Les historiens et historiennes de l’art et du genre attirent l’attention sur la nécessité d’exposer, historiciser et analyser leurs œuvres autrement.
Dans les cours d’histoire, les artistes femmes sont peu ou pas étudiées, et lorsqu’un tableau féminin est utilisé, on ne pose jamais sur lui de questionnement de genre. Par ailleurs la représentation des femmes par les artistes hommes n’est jamais questionnée sous l’angle du genre.
Aujourd’hui alors que de nombreuses expositions sur des femmes artistes ont lieu à Paris, nous allons tenter avec Julie Verlaine de décrypter pour vous ces questions complexes.
Bibliographie
Ouvrages :
Articles et revues :
Sitographie :
Crédit :
Générique : Musique libre de droit par Musicincloud.
Un podcast produit par l’Association Mnémosyne avec Cécile Béghin, animé par Fanny Cohen-Moreau. Textes lus par Clémentine Letellier.
Aujourd’hui, nous avons l’immense plaisir et honneur de recevoir Bibia Pavard, chercheuse spécialiste du féminisme contemporain, que vous connaissez peut-être mieux depuis la sortie de son livre déjà culte, écrit avec Florence Rochefort et Michelle Zancarini-Fournel, Ne nous libérez pas, on s’en charge, une histoire des féminismes de 1789 à nos jours, publié aux éditions La Découverte en 2020. Et puis elle est, depuis le 4 février 2022, la nouvelle Présidente de Mnémosyne.
[Attention, dans cet épisode nous parlons de violences sexistes et sexuelles, et notamment de viols.]
L’ouvrage a pour ambition de retracer une minutieuse histoire des féminismes depuis 1789. Notre ambition dans cet épisode sera plus restreinte : pour rester dans la thématique du corps, entamée dans notre épisode 9, Cécile Beghin a voulu explorer les liens qui se tissent entre le corps des femmes et les combats menés par les féministes entre seconde guerre mondiale et 1982, en particulier autour du droit à l’avortement.
Pour évoquer cette loi et la décennie qui l’a vue naître, on utilise parfois l’expression de « libération féminine ». Cette expression correspond-elle à une réalité et peut-elle véritablement être reliée aux étapes qui ont permis l’adoption puis la mise en place des lois sur la contraception et l’avortement, entre 1967 et 1982 ? Dans quel contexte politique et social ces lois ont-elles été adoptées ? quels obstacles ont-t-elle rencontrés ? Quels combats ont-elle impliqué ?
Avec Bibia et Clémentine, de retour parmi nous aujourd’hui pour la transposition didactique, mais sans fabliaux, nous allons essayer de répondre à toutes ces questions.
Bibliographie
Pour élargir nos réflexions, Clémentine Letellier et Cécile Beghin ont eu envie de sortir des lignes étroites tracées par les programmes et de vous emmener explorer une contrée souvent méconnue : celle des corps et des sexualités médiévales. En effet, chaque régime de genre implique des spécificités dans le rapport des sociétés au corps et à la sexualité. Comment les médiévaux considèrent-ils les corps des hommes et des femmes ? Quelles représentations s’établissent autour des corps féminins et masculins ? Quelles sexualités sont autorisées, recommandées ou interdites et condamnées ? En quoi les sexualités sont-elles révélatrices des mentalités et des rapports de domination qui structurent la société médiévale ?
Avec l’aide de Didier Lett, Professeur d’histoire médiévale à l’Université de Paris VII et spécialiste de la famille et des sexualités dans le Bas Moyen-Âge, Clémentine et Cécile vont essayer de répondre à toutes ces questions et elles parient qu’elles vont parvenir à vous montrer que ces questionnements sur les sexualités médiévales nous renvoient à des questionnements plus contemporains sur l’éducation à la sexualité de notre jeunesse.
Et parce que parler de sexualité ne signifie pas seulement aborder des thèmes réjouissants, il sera également fait mention dans cet épisode de violences sexuelles envers les femmes et les enfants. Pour parler de ces sujets plus dramatiques, nous présenterons le dernier ouvrage de Didier Lett, Viols d’enfants au Moyen Âge, genre et pédocriminalité à Bologne (XIVe – XVe siècle), paru aux éditions PUF en 2021.
Caroline Fayolle, « La femme nouvelle. Genre, Education, Révolution (1789 – 1830), Paris, Editions du CTHS, 2017.
La citoyenneté est une notion complexe qui tient une place importante dans les programmes de collège et de lycée, mais qui est généralement utilisée de façon assez simpliste, avec le sens de « citoyenneté politique » qui en exclut longtemps les femmes. Avec Caroline Fayolle, agrégée d’histoire et MCF en histoire à l’université de Montpellier, nous nous interrogerons donc dans cet épisode sur la notion de citoyenneté révolutionnaire et sur l’éducation des femmes.
Bibliographie :
Crédit :
Générique : Musique libre de droit par Musicincloud.
Un podcast produit par l’Association Mnémosyne avec Cécile Béghin, animé par Fanny Cohen-Moreau. Textes lus par Clémentine Letellier.
Qu’est-ce que l’archéologie du genre ? Comment faire de l’histoire du genre quand on étudie la préhistoire ?
Anne Augereau, « Femmes néolithiques. Le genre dans les premières sociétés agricoles », CNRS Editions, 2021.
Dans cet épisode, nous ferons connaissance avec Anne Augereau, archéologue à l’Inrap, spécialiste du néolithique, qui vient de faire paraître un ouvrage nommé Femmes néolithique, le genre dans les premières sociétés agricoles, aux éditions du Cnrs. Cet entretien sera pour nous l’occasion de vous faire connaître une discipline, l’archéologie du genre, et nous espérons, à travers la présentation de ses recherches, vous faire partager notre passion pour les analyses de genre appliquées à la préhistoire. Nous pourrons ensuite aborder la question de l’enseignement de la préhistoire dans le secondaire et sur la place qu’y occupent les femmes.
Bibliographie :
Crédit :
Générique : Musique libre de droit par Musicincloud.
Un podcast produit par l’Association Mnémosyne avec Cécile Béghin, animé par Fanny Cohen-Moreau. Textes lus par Clémentine Letellier.
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